En vogue depuis quelques années, le métier d’influenceur passionne de plus en plus de jeunes. Celui-ci implique en réalité une production de contenu de qualité ayant pour objectif d’inciter les followers à s’intéresser à un produit ou un sujet axé sur divers domaines à l’instar de la santé, l’éducation, la mode et l’environnement. Il est très rare de nos jours de tomber sur des contenus éducatifs et sensibilisateurs. Certains utiliseraient cette voie pour acquérir un statut particulier dans la société à travers des actes peu élogieux. Raison pour laquelle beaucoup l’assimile à la prostitution.
Auto-entrepreneur de base, ce spécialiste exerce une influence considérable sur les personnes qui le suivent sur la toile. Il est donc censé avoir des aptitudes en communication, en gestion et en comptabilité. Quand bien même aucune formation particulière n’est requise, une communication positive serait recommandée pour maintenir les valeurs morales.
Très noble en occident, ce métier semble au contraire participer à la dépravation des mœurs en Afrique. Au Gabon, péripatéticiennes, dévoyés et autres auraient trouvé une plateforme idéale pour exposer des vidéos à caractère sexuel, ainsi que tous types d’objets de luxes. L’unique objectif pour ces personnes est d’obtenir un nombre accru de vues sur les réseaux sociaux, pour augmenter les revenus et la notoriété. Ceci susciterait donc de l’envie chez un grand nombre de followers, pour la majorité des adolescents. D’aucuns pensent donc que ce travail permet de masquer des activités peu louables. Pour ce faire, il serait peut-être judicieux de réglementer le métier d’influenceurs au Gabon.