Alors que la Journée de l’environnement a été célébrée le 5, le 6 juin, le monde se tourne vers la Journée de la lutte contre les parasites. Lancée il y a sept ans, par plusieurs organisations internationales, celle-ci vise la sensibilisation à grande échelle autour de l’importance d’un environnement sain.
Communiquer sur la nécessité de mener la lutte antiparasitaire, c’est l’objectif des de plusieurs organismes qui profitent de ce jour pour rappeler les avantages de la mise en application des stratégies établies. Outre cet aspect, la préservation des cultures et des arbres de ces organismes, présente est un atout pour les écosystèmes.
L’Association chinoise de lutte antiparasitaire qui avait instauré le 6 juin 2017, comme la première Journée dédiée aux nuisibles, entendait également revenir sur les conséquences négatives de l’utilisation des pesticides chimiques sur les produits agricoles.
Au Gabon par exemple, plusieurs services d’hygiène, privés et publics semblent avoir emboîté le pas ces dernières années. En effet, il existe à ce jour des campagnes de désinfection et d’extermination de parasites. Sauf que, les populations peinent à à avoir recours à ce type de service.
Pourtant, les organismes nuisibles tels que les rats, les souris, les mouches, les moustiques, les fourmis et les puces sont tous des puissants vecteurs de maladies, que ce soit chez l’homme ou les animaux d’élevage. Cette lutte permettra donc à terme, d’atteindre un des objectifs du développement durable. Mais pas que, plus que la croissance de la production agricole est également concernée.
Frey Demba

