Parmi les nombreux participants conviés aux activités du dialogue national inclusif, on compte des personnes à mobilité réduite. Ces membres des commissions et sous commissions sont confrontés à plusieurs difficultés.
Sur le site du dialogue national inclusif, plusieurs aménagements ont été faits pour favoriser une circulation fluide des personnes à mobilité réduite. « Chapeau à l’organisation qui a vraiment fait d’efforts pour que l’on soit à l’aise. Si toutes les administrations gabonaises pouvaient faire la même chose, ce serait vraiment bien », a déclaré Béatrice Mawanga, membre de la sous-commission bien-être social en fauteuil roulant.
Malgré ces efforts de l’organisation, certains points pourraient encore être améliorés. Selon Marc Ona Essangui, le président de la sous-commission agriculture et environnement, la signalétique de l’environnement ne prend pas en compte les personnes à mobilité réduite. Selon le sénateur de la transition, les rampes d’accès manquent à certains emplacements importants comme le restaurant du dialogue national inclusif.
Pour y remédier, le secrétariat technique du dialogue national inclusif a annoncé qu’un prestataire se chargerait charge de renforcer la signalétique du site.
Pour favoriser l’inclusivité tant souhaitée par les autorités lors ces assises, il est crucial que ces améliorations soient faites avant la phase opérationnelle de ce dialogue national inclusif qui devrait démarrer le lundi 8 avril par l’ouverture des travaux en commission.
Charles Ayenoue