Des cas de grippe aviaire ont été enregistrés chez des vaches laitières aux États-Unis, dans les États du Texas et du Kansas, mercredi 25 mars dernier. Les tests ont, de ce fait, démontré qu’il n’y a aucune altération du virus chez l’humain et le risque reste faible, selon les autorités agricoles.
Des cas d’infection par H5N1, qui ne semblent pas inquiéter les autorités sanitaires américaines, ont été découverts sur des vaches, aux États-Unis. C’est une souche contagieuse de l’influenza aviaire hautement pathogène qui a été détectée. Le risque de transmission du virus aux hommes est minime, rassure les autorités américaines.
Ces analyses ont révélé que des échantillons positifs ont été prélevés sur du lait non pasteurisé recueilli dans des exploitations laitières du Texas, comptant parmi les cinq plus grands producteurs de lait du pays.
Entre le mois de novembre 2023 et janvier 2024, dix foyers d’influenza aviaire, hautement pathogène, ont été confirmés dans les élevages, selon le ministère de l’Agriculture.
Cette découverte aux États du Texas et du Kansas pourrait bien marquer un virage dans cette épidémie. D’autant plus qu’elle intervient après la découverte d’une chèvre contaminée dans une ferme dans laquelle se trouvaient des volailles infectées, le 20 mars dernier dans le Minnesota.
Aïcha Désirée Minkoh