À l’approche de la fin de l’année, les festivités ne se limitent pas aux réjouissances et aux retrouvailles familiales. Cette période marque aussi un moment privilégié de réflexion, où chacun fait le point sur les mois écoulés et se projette vers l’avenir à travers de nouvelles résolutions.
Entre repas festifs, décorations et échanges de vœux, la fin d’année invite naturellement à l’introspection. Beaucoup profitent de cette pause pour évaluer leurs réussites, leurs échecs et les objectifs restés inachevés. « La fin d’année marque la fermeture d’un cycle et l’ouverture d’un nouveau », a déclaré Francky-Thiburse Mapenda diplômé en sociologie (UOB), enseignement spécialisé (ENS) et conseiller d’Orientation-Psychologue
Dans cette dynamique, les résolutions occupent une place centrale. Arrêter de fumer, pratiquer davantage de sport, mieux gérer son temps ou renforcer les liens sociaux figurent parmi les engagements les plus souvent évoqués. « C’est ce qui incite les gens à réfléchir sur ce qui s’est passé et à se projeter dans l’avenir », a affirmé Francky-Thiburse Mapenda. Si certaines promesses s’estompent rapidement, elles traduisent néanmoins une volonté commune de changement et d’amélioration.
Cette tradition des résolutions de fin d’année repose sur un besoin de renouveau. « Il permet de faire le point sur ses réalisations, ses échecs et ses objectifs non atteints, et pour identifier les domaines où l’on peut s’améliorer.», a indiqué le sociologue. Le passage à une nouvelle année symbolise un nouveau départ, propice à la motivation et à la prise de bonnes habitudes. Toutefois, il recommande de fixer des objectifs réalistes et progressifs afin d’augmenter les chances de succès.
Au-delà des engagements individuels, les fêtes de fin d’année sont aussi un moment de partage et d’espoir collectif. Elles rappellent l’importance de la solidarité, de la gratitude et de l’optimisme face aux défis à venir. Un état d’esprit qui, bien au-delà des célébrations, peut accompagner chacun tout au long de la nouvelle année.

